Il existe un moyen infaillible pour dire quand un "politicien" ment, il remue les lèvres !

Encore et encore Claude Guéant !!! Incroyable…mais pas seul…

La polémique sur les sondages signés et payés par l’Elysée est née en 2009 avec la publication par la Cour des Comptes de son premier rapport de «contrôle des comptes et de la gestion des services de l’Elysée».

C’était une nouveauté souhaitée par Nicolas Sarkozy – il fut un temps - mais qui s'est retournée contre son équipe.

La Cour y épinglait en effet les pratiques de la présidence pour ses sondages et conseils.

L'Elysée avait dépensé de très belles sommes : plus de 723 000 euros pour le cabinet de l’ex-sondeur Pierre Giacometti, environ 890 000 euros pour l’Institut de sondage Ipsos. Et surtout un paquet de 1,5 million d’euros pour Publifact, la société de Patrick Buisson, (opinion « allons vers l’extrême droite ! »), conseiller de Nicolas Sarkozy, et directeur de la chaîne Histoire (filiale à 100% de TF1) et ancien de LCI et du journal d’extrême droite Minute. 

Patrick Buisson mis en examen comme les autres notamment Pierre Giacometti ex-Ipsos

En 2008, 130 factures ont été réglées par l’Élysée à la société de sondages de Publifact de ce curieux personnage avec ses enregistrer plus tard…

Problème : la convention signée par Emmanuelle Mignon, alors directrice de cabinet de Nicolas Sarkozy, avec Publifact a été conclue sans le moindre appel d'offre, sans respecter le code des marchés publics.

Autre incohérence : une quinzaine de sondages ont été facturés à la présidence par Publifact alors qu’ils avaient déjà été publiés par la presse. 

L’association de lutte contre la corruption Anticor avait porté plainte contre X en février 2010 pour «favoritisme» et «détournement de fonds publics».

Mais le parquet de Paris avait décidé de la classer sans suite quelques mois plus tard, estimant qu'il n'était pas possible d'enquêter sur l'entourage de Nicolas Sarkozy sous sa présidence. 

Anticor avait alors déposé deux autres plaintes avant que le Parquet de Paris ne finisse par ouvrir une enquête préliminaire deux ans plus tard.

En décembre 2012, la Cour de Cassation autorisait le juge Serge Tournaire à enquêter sur l'un des contrats conclus en 2007, qui fonde la plainte d’Anticor.

L'enquête, menée par un juge d'instruction du pôle financier, porte sur la régularité des contrats conclus sous le quinquennat Sarkozy entre l'Élysée et neuf instituts de sondage, notamment la société Publifact de Patrick Buisson ainsi que celle de Pierre Giacometti – ex-IPSOS, Giacometti-Peron.

Six anciens collaborateurs de Nicolas Sarkozy, dont Claude Guéant et Xavier Musca qui s'étaient succédé au poste de secrétaire général de la présidence de la République, ainsi qu'Emmanuelle Mignon, l'ancienne directrice de cabinet de Nicolas Sarkozy, avaient été entendus début juin dans ce dossier.

(Aucune mise en examen n'avait été prononcée à l'issue de ces gardes à vue.)

La politique dénature, ruine et se voit dégueulasse du côté de "l’UMP".

La politique est maintenant trop dégueulasse parce que les hommes ne se le rendent pas compte en France que les responsables la font dégueulasse !

Hélas, à la guerre il ne peut être tué qu’une seule fois. En politique, plusieurs fois !

Rajoutons d’autres prérogatives de l’extrême droite et Cahuzac extraordinaire exploit. Il suffit à vomir la famille Le Pen et le bordel de leurs plans de casser l’Europe pour gérer des héritages !

La France sans les républicains et démocrates honnêtes et intelligents, ceux qui sont votants écoutent et ne comprennent rien du tout à cette gestion d’un pays entier. Reste la folie du vote vers ceux et celles qui seront d’un « bon plan » invraisemblable mais « c’est pas mal »… ???

Mais non… !!!