Où seraient donc les trésors du "Ciel" ???

Né à Oran au sein d’une famille de six enfants, je n’ai posture d’avoir à penser PLUS quand moment où mon cerveau post pubère s’est mis à fonctionné. Des études, oui à Paris compte tenu des « évènements » du type guerre civile en Algérie. Mon père, parti de rien, année par année, devenait un industriel important et heureux de gagner beaucoup d’argent en construisant un patrimoine réel…

Son acharnement à « grandir » dans l’aisance prosaïque lui permettant, en aîné qu’il était de onze frères et sœurs, n’avait de cesse que d’aider tout le monde, amis compris.

Mais, il y a toujours un « mais » dans toute réflexion, il obstruait une volonté de qualité, l’acquisition de culture, la gnose à propos de laquelle ses enfants substitueraient. On ne peut pas tout faire.

Il sera resté jusqu’à sa condamnation à mort du FLN – dont il fut prévenu par son fidèle Kader - et pourra trouver un vol de l’Aéroport de La Seynia vers Orly…la veille de l’incendie de ses usines, lui qui n’a JAMAIS profité d’un positionnement colonial ou politique…

Il décèdera à Marseille, avec une audition invalidante. Son amertume mémorielle, et son âge avaient décidé de finir l’histoire de sa vie.

Mais plus tard, plus tard, je synthétisais sans critique acerbe mais en faisant le tri, que la totalité de son caractère était soit blanche, soit grise, voire noire parce que l’argent et les moyens d’intervention étaient factices.

Ma mère décédée, mariée à peine en âge de seize ans, en supportera les conséquences.

Aujourd’hui, il n’y a plus dans ma famille descendante le « total » naissant de couple ancien. Un frère (Supelec) invalide à 1.000 %, deux frères (médecine et kinésithérapie) partis presqu’ensemble vers l’enfin subissant un cancer décisif. La moitié, (un médecin, ma seule sœur – droit et prof d’anglais -, et votre serviteur, entrepreneur à 26 ans, nous restons les « gardiens du Temple » sans trop nous voir en raison de géographies et d’activités compliquées. Dommage…

A date d’aujourd’hui, le 26 septembre 2012, mais dans le calendrier hébraïque, à la naissance de l’année 5773 ans, c’est le seul jour « célèbre » et à célébrer pour la diaspora universelle des israélites dans le monde entier.

Ayant trop lu Descartes, considéré comme l'un des fondateurs de la philosophie moderne formulant cogito (raisonnement validant la pensée) et fondant ainsi le système des sciences sur le sujet connaissant face au monde qu'il se représente, j’avais incrusté le cartésianisme sur mon granit premier et génétique.

C

Ce qui me gêne – euphémisme total -, c’est le mot : « AME » !

En effet, ce mot décline automatiquement ma recherche sur Wikipédia que je vous invite à lire ci-dessous :

L'âme, selon certains courants religieux et philosophiques, est le principe vital, immanent ou transcendant, de toute entité douée de vie (homme, animal, végétal), pour autant que ce principe puisse être distingué de la vie même.

Les termes originaux (hébreux : nèphèsh [נפׁש] ; grec : psukhê [ψυχή]) employés dans la Bible montrent qu’une « âme » est une personne, un animal, ou la vie dont jouit une personne ou un animal. Nèphèsh vient vraisemblablement d’une racine qui signifie « respirer ». Dans un sens littéral, nèphèsh pourrait être rendu par « un respirant »  . Le terme français provient du mot latin anima, qui a donné « animé », « animation », « animal ».

Personnifiée dans la mythologie par Psyché, (grec Ψυχή, qui signifie souffle), elle est souvent confondue avec l'ensemble des fonctions psychiques constituant la psyché, instrument qu'elle « anime ».

Par extension, tout élément naturel, par exemple une montagne, pourrait être investie d'une âme avec laquelle il serait d'une façon ou d'une autre possible d'interagir. Cette perception est propre à l’animisme où chaque entité est douée d’intentionnalité, ce qui donne lieu à des rituels pour se concilier ses faveurs.

La notion d’âme joue un grand rôle dans la croyance religieuse. Avec ce concept vitaliste, la mort devient moins mystérieuse : lorsqu’une personne meurt, son âme la quitte, raison pour laquelle son corps devient inerte ; cette âme pourrait alors revenir sous forme de fantôme, ou aller vers un au-delà (un paradis ou un enfer). Concentrant la fonction vitale essentielle, l’âme est alors porteuse d'un espoir de vie éternelle et rien ne s'oppose même à sa réincarnation.

Le concept d’âme, tacitement associé à celui d’immortalité, reste, selon les modernes, imputé à Platon. Selon certains, l’esprit contemporain, pour qui « l’existence précède l’essence », voit l’âme comme un mythe et considère que la science en récuse totalement l'existence. Bien qu'il n'existe aucune preuve scientifique de son existence, elle demeure pourtant un objet d'étude dans certaines recherches sur l’expérience de mort imminente…

Ouf !!!

Dur, dur pour un cartésien non pratiquant

Quand « quelque-chose » commence, il nait

obligatoirement avec une perspective

possible de finir…